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DEUXIEME ACTE
( Villa Hofreiter; le jardin qui y confine)
Derrière la maison à gauche. Porte qui conduit directement
ans le jardin. A droite et à gauche de la porte, deux fenêtres en par-
ie ouvertes. Un petit balcon au premier étage. Pelouse au milieu.
lus loin à droite un grand noyer; desous: banc, chaises table. Plus
oin vers l'arrière au milieu un bouquet d'arbres qui cache en partie
n terrain de tennis tout à fait dans le fond. Un haut pillage entoure
e terrain. En dehors de la grille, à droit et à gauche, un banc,
eux petits bancs de chaque côté de la porte de la maison, sous les fenê-
res du rez-de-chaussée.
Jour d'été chaud et ensoleillé.
GENIA
(sous le noyer en robe claire. Un livre dans la main mais
elle ne lit pas ).
(Une partie est commencée sur le terrain de tennis. A gauche
Frédéric Hofreiter et Adèle Natten, à droite Erna Wahl et Paul Kreindl.
On devine les costumes blancs, mais on ne peut pas reconnaître les
joueurs. De temps en tempe en entend : “Fifteen, thirty, fourty, out,
deuce, second”.. etc).
(Bientôt après le lever du rideau arrive Otto von Aigner, en
Hervil cette fois, en costume de tennis et chapeau panama; il a une
raquette en mains; il vient de derrière la maison et se dirige vers
le tennis. Il aperçoit Genia qui a entendu ses pas et va vers elle.
Elle le salue d'un aimable signe de tête).
9. Bonjour Madame - Voue ne jouez pas?
IA. Comme vous voyez, lieutenant. Il sont trop forts pour moi.
(Une balle passe devant Otto qui la renvoie prestement).
VOIS DU TERRAIN DE TENNIS. Merci!
o. Ce ne sont pas tous des maîtres... exception faite de votre mari
naturellement. Excusez-moi Madame de vous avoir dérangée dans votre
lecture.... (Il fait le geste d'aller vers le diunis).
1A. Vous ne me dérangez pas du tout, J'ai bien essayé de lire mais
je sommeillais plutôt. Cet air......
O. Oui, il fait bien chaud. Mais quels beaux joursi C'est maintenant
qu'on peut vraiment jouir de nos belles forêtet
DEUXIEME ACTE
( Villa Hofreiter; le jardin qui y confine)
Derrière la maison à gauche. Porte qui conduit directement
ans le jardin. A droite et à gauche de la porte, deux fenêtres en par-
ie ouvertes. Un petit balcon au premier étage. Pelouse au milieu.
lus loin à droite un grand noyer; desous: banc, chaises table. Plus
oin vers l'arrière au milieu un bouquet d'arbres qui cache en partie
n terrain de tennis tout à fait dans le fond. Un haut pillage entoure
e terrain. En dehors de la grille, à droit et à gauche, un banc,
eux petits bancs de chaque côté de la porte de la maison, sous les fenê-
res du rez-de-chaussée.
Jour d'été chaud et ensoleillé.
GENIA
(sous le noyer en robe claire. Un livre dans la main mais
elle ne lit pas ).
(Une partie est commencée sur le terrain de tennis. A gauche
Frédéric Hofreiter et Adèle Natten, à droite Erna Wahl et Paul Kreindl.
On devine les costumes blancs, mais on ne peut pas reconnaître les
joueurs. De temps en tempe en entend : “Fifteen, thirty, fourty, out,
deuce, second”.. etc).
(Bientôt après le lever du rideau arrive Otto von Aigner, en
Hervil cette fois, en costume de tennis et chapeau panama; il a une
raquette en mains; il vient de derrière la maison et se dirige vers
le tennis. Il aperçoit Genia qui a entendu ses pas et va vers elle.
Elle le salue d'un aimable signe de tête).
9. Bonjour Madame - Voue ne jouez pas?
IA. Comme vous voyez, lieutenant. Il sont trop forts pour moi.
(Une balle passe devant Otto qui la renvoie prestement).
VOIS DU TERRAIN DE TENNIS. Merci!
o. Ce ne sont pas tous des maîtres... exception faite de votre mari
naturellement. Excusez-moi Madame de vous avoir dérangée dans votre
lecture.... (Il fait le geste d'aller vers le diunis).
1A. Vous ne me dérangez pas du tout, J'ai bien essayé de lire mais
je sommeillais plutôt. Cet air......
O. Oui, il fait bien chaud. Mais quels beaux joursi C'est maintenant
qu'on peut vraiment jouir de nos belles forêtet