A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 58

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vanité de ta constance, je sais bien...
Eh bien, adors puisque tu le sais......
DERIC
Oui, mais enfin cela est arrivé....
Quoi, quoi?
DERIC
Qu'il a dû se suicider.... c'est cela qui est terrible.... je
ne peux pas sortir de là.
Quoi.... quoi...
(elle prend sa teté dans ses mains).
Pense un peu - on ne peut rien changer à ce fait terrible : que
DERIC
le pauvre Korsakow est maintenant sous terre et y pourrit.... et
que la cause en est toi!... Naturellement... innocente - dans les
deux sens –. Un autre que moi se mettrait peut-être à tes genoux
et te vénérerait - comme une sainte- précisément pour ton attitu¬
dei.. Je ne suis,pas ainsi.... tu m'es devenue justement par là,
presque étrangère
Frédéricl!... étrangère.... Fréd éric! —
Oui, s'il t'avait été anticipathique - ce serait alors la chose la
DERIC
plus naturelle du monde. Mais non, je sais bien qu'il te plaisait
beaucoup.... on peut même dire que tu en étais un pau amoureuse.
Ou bien encore - si j'avais.... bien mérité de toi.... si tu
avais été vis à vis de moi obligée à ce que l'on appelle la
fidélité.... Mais je n'y avais réellement aucun droit.... enfin...
ne parlons pas de cela.- Alors je me demande toujours et encore
pourquoi a-t-il du mourir?
Frédéric!
Et comprends-tu, cette pensée.... que ta vertu, ce quelque chose
DERIC
qui en réalité n'est rien qu'une idée, un fantôme, un néant - au
moins wie à vis d'une chose aussi terrible, ausci irréparable
que la mort - que VA VERTU, ait poussé un homme dans la mort, cette
idée m'est réellement très anticipathique. Oui... Je ne peux pas