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FREDERIC.- (apparait en costume de tennis) Bonjour, Genia.
(II 1’em¬
(brasse sur le front et salue les autres. A Mme Wahl qui
(ne lui tend pas la main)
Eh bien maman Wahl, vous êtes
toujours fâchée contre moi?
Mme xxx. - Je ne vous adresse plus la parole; pas plus qu'au Dr Mauer.
FREDERIC.- On verra bien.
EMIA.- Il faut remarquer qu'on ne l'a pas encore vu.
FREDERIC.- Tiens? - Il viendra probablement aujourd'hui; je lui ai
écrit Eh bien, Paul et Erna ne se dérangent pas.
GENIA.7.Dis moi, quand es-tu arrive à Vienne?
FREDERIC. - Hier soir. Oui - J'aurais très volontiers assisté au dejeu¬
ner mais ce n'était malheureusement pas possible.
GENIA.- Nous avions un déjeuner en ton honneur.
GUSTAVE.- Nous avons merveilleusement déjeuné.
FREDERIC.- Vraiment?... Peut-être serais-tu assez bonne Genia pour me
faire apporter une tasse de café.
(Il s'assied sous l'arbre et
(allume une eigarette).
UATTER.- Nous êtes resté plus longtemps que vous ne pensiez, mon cher
Hofreiter?
FREDERIC.- Oui.
(Il lui jette un regard aigu) Oui. Ce sont bien vos en¬
fants qui jouent là-bas sur la pelouse Y
ADÈLE. - J'ai pensé que Percy était déjà là.
(Stanzides et Mme Wahl sont allés vers l'arrière pen-
(dant ce temps)
FREDERIC.- Eh bien, quand arrive-t-il finalement. Il se laisse inviter
dans des chateaux anglais.. le garnement!
GRNIA.- Je crois qu'il arrive aujourd'hui ou demain avec ma soeur Mary
... voilà trois jours que je n'ai pas de nouvelles de lui.
PAUL & Klonf A (viennent du tennis).
FREDERIC.- (apparait en costume de tennis) Bonjour, Genia.
(II 1’em¬
(brasse sur le front et salue les autres. A Mme Wahl qui
(ne lui tend pas la main)
Eh bien maman Wahl, vous êtes
toujours fâchée contre moi?
Mme xxx. - Je ne vous adresse plus la parole; pas plus qu'au Dr Mauer.
FREDERIC.- On verra bien.
EMIA.- Il faut remarquer qu'on ne l'a pas encore vu.
FREDERIC.- Tiens? - Il viendra probablement aujourd'hui; je lui ai
écrit Eh bien, Paul et Erna ne se dérangent pas.
GENIA.7.Dis moi, quand es-tu arrive à Vienne?
FREDERIC. - Hier soir. Oui - J'aurais très volontiers assisté au dejeu¬
ner mais ce n'était malheureusement pas possible.
GENIA.- Nous avions un déjeuner en ton honneur.
GUSTAVE.- Nous avons merveilleusement déjeuné.
FREDERIC.- Vraiment?... Peut-être serais-tu assez bonne Genia pour me
faire apporter une tasse de café.
(Il s'assied sous l'arbre et
(allume une eigarette).
UATTER.- Nous êtes resté plus longtemps que vous ne pensiez, mon cher
Hofreiter?
FREDERIC.- Oui.
(Il lui jette un regard aigu) Oui. Ce sont bien vos en¬
fants qui jouent là-bas sur la pelouse Y
ADÈLE. - J'ai pensé que Percy était déjà là.
(Stanzides et Mme Wahl sont allés vers l'arrière pen-
(dant ce temps)
FREDERIC.- Eh bien, quand arrive-t-il finalement. Il se laisse inviter
dans des chateaux anglais.. le garnement!
GRNIA.- Je crois qu'il arrive aujourd'hui ou demain avec ma soeur Mary
... voilà trois jours que je n'ai pas de nouvelles de lui.
PAUL & Klonf A (viennent du tennis).