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: " " F
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1:1;
-121-
PAUL. GUSTAVS. ERNA. STANZIDES. ADÈLE. Moe NAHL.
UATTER.ourvoto et FREDERIC (viennent du tennis)
GENIA.- Eh bien qui a été vainqueur?
PAUL.- La vielle garde vit encore. M. Hofreiter a gagné. Neuf contre
huit.
STARZIDES.- C'est domnage que vous n'ayez pas regardé, madame. C'était
une belle partie.
FRE FRIC.- Tiens, Mauer, tu es donc resté. C'est très gentil de ta
part!
PAUL.- Maintenant il y a encore le match de mademoielle Erna et de
M. Hofreiter.
ERMA.- Il fait trop sombre maintenant; nous remettons cela à demain.
Et nous télégraphierons au Lieutenant le résultat final du tour-
noi.
OTTO.- Mesdames, messieurs, je dois malheureusement prendre congé de
vous
(Il commence à saluer)
FREDERIC.- (le suit du regard) c'est dommage que nous ne puissions pas
faire encore une partie demain. Otto!- Ma victoire d'aujourd'hui
ne me donne pas satisfaction.
PAUL. - Pourquoi? - Le Lieutenant a fameusement joué, et vous, Monsieur
Hofreiter, encore mieux.
FREDERIC.- Je ne sais pas. Vous n'étiez pas très en ferme, Otto, Vous
aviez un coup auquel je ne suis pas habitué de votre part. Un
coup distrait, indicis, inquiet...Mélancolie de la separation
sans doute.
OTTO.- Peut-être embarras d'avoir en face de soi un adversaire si fort
et si reposé. Eh bien, quand je reviendrai dans trois ans, j'es-
père que vous aurez plus de plaisir à mon jeu, M. Hofreiter.
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1:1;
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PAUL. GUSTAVS. ERNA. STANZIDES. ADÈLE. Moe NAHL.
UATTER.ourvoto et FREDERIC (viennent du tennis)
GENIA.- Eh bien qui a été vainqueur?
PAUL.- La vielle garde vit encore. M. Hofreiter a gagné. Neuf contre
huit.
STARZIDES.- C'est domnage que vous n'ayez pas regardé, madame. C'était
une belle partie.
FRE FRIC.- Tiens, Mauer, tu es donc resté. C'est très gentil de ta
part!
PAUL.- Maintenant il y a encore le match de mademoielle Erna et de
M. Hofreiter.
ERMA.- Il fait trop sombre maintenant; nous remettons cela à demain.
Et nous télégraphierons au Lieutenant le résultat final du tour-
noi.
OTTO.- Mesdames, messieurs, je dois malheureusement prendre congé de
vous
(Il commence à saluer)
FREDERIC.- (le suit du regard) c'est dommage que nous ne puissions pas
faire encore une partie demain. Otto!- Ma victoire d'aujourd'hui
ne me donne pas satisfaction.
PAUL. - Pourquoi? - Le Lieutenant a fameusement joué, et vous, Monsieur
Hofreiter, encore mieux.
FREDERIC.- Je ne sais pas. Vous n'étiez pas très en ferme, Otto, Vous
aviez un coup auquel je ne suis pas habitué de votre part. Un
coup distrait, indicis, inquiet...Mélancolie de la separation
sans doute.
OTTO.- Peut-être embarras d'avoir en face de soi un adversaire si fort
et si reposé. Eh bien, quand je reviendrai dans trois ans, j'es-
père que vous aurez plus de plaisir à mon jeu, M. Hofreiter.