P. S.
plus lent, c'est remarquable. Il y a trois ans, le courrier du
soib était toujours là des six heures et demie. Maintenant il
arrive rarement avant 7 heures 1/2. Si cela continue, le temps
n'est précédra où il fera sa distribution à minuit.
Peut-être prendrais-tu encore du thé?
S:IA.
FRaERIO.- Merci bien... J'en ai pris au bureau. Il n'était pas fameux.
Eh bien, est-ce que nuer t'a racchte...?
¬ui... as-tu reçu la dépêche d'.meriaue?
0s 1.
maturellement... et il est presque certain que je partirai
FREDERIC.
en automne.
CERlt.- Tu avais l'intention d'envoyer quelqu'un du burpeau.
FASERIC.- Ah - il vaut mieux que j'y silles moi-même. Tu m'acconpa¬
gnes, Génia? Nous partirions le 30 Août ceriverpool, ou le
Septembre de Hambourg, par le Norddeutsc er Eloyd. Je conhais
le capitaine du "sing James".
Mlh.- Nous en parlerons encore d'ici là, n'est- e pas
xxx xxx. - J'espère avoir ce plaisir. (Il s'agried).
GEnIi.- Tu dois avoir chaud avec ton pardessus.
FRADERIC.- Non, j'ai plutôt frais. veo un temps pareil. Rat-ce qu'il
a benucoun plu, ici? Au cimetière c'etait un gachis! - Ce
n'est pas des discours que je parle - Tu peux te féliciter de
n'avoir pas subi... Vraiment on devrait bien supprimer cette
soutume! Vous n'imaginez pas les bêtises qu'on a pu dire -
(silence)
Eh bien Mauer, comment es-tu revenu? Sans incident?
uelle vitesse as-tu fait: Du dix à l'heure : Ta n'oses pas
faire davantage encore.
Mogne- toi
l'AUER.- Tu peux me mailler. Je me méfie de tous les chauffeurs. Je
suis tout à fait comme toi; je n'ai confiance qu'en moi-même.
plus lent, c'est remarquable. Il y a trois ans, le courrier du
soib était toujours là des six heures et demie. Maintenant il
arrive rarement avant 7 heures 1/2. Si cela continue, le temps
n'est précédra où il fera sa distribution à minuit.
Peut-être prendrais-tu encore du thé?
S:IA.
FRaERIO.- Merci bien... J'en ai pris au bureau. Il n'était pas fameux.
Eh bien, est-ce que nuer t'a racchte...?
¬ui... as-tu reçu la dépêche d'.meriaue?
0s 1.
maturellement... et il est presque certain que je partirai
FREDERIC.
en automne.
CERlt.- Tu avais l'intention d'envoyer quelqu'un du burpeau.
FASERIC.- Ah - il vaut mieux que j'y silles moi-même. Tu m'acconpa¬
gnes, Génia? Nous partirions le 30 Août ceriverpool, ou le
Septembre de Hambourg, par le Norddeutsc er Eloyd. Je conhais
le capitaine du "sing James".
Mlh.- Nous en parlerons encore d'ici là, n'est- e pas
xxx xxx. - J'espère avoir ce plaisir. (Il s'agried).
GEnIi.- Tu dois avoir chaud avec ton pardessus.
FRADERIC.- Non, j'ai plutôt frais. veo un temps pareil. Rat-ce qu'il
a benucoun plu, ici? Au cimetière c'etait un gachis! - Ce
n'est pas des discours que je parle - Tu peux te féliciter de
n'avoir pas subi... Vraiment on devrait bien supprimer cette
soutume! Vous n'imaginez pas les bêtises qu'on a pu dire -
(silence)
Eh bien Mauer, comment es-tu revenu? Sans incident?
uelle vitesse as-tu fait: Du dix à l'heure : Ta n'oses pas
faire davantage encore.
Mogne- toi
l'AUER.- Tu peux me mailler. Je me méfie de tous les chauffeurs. Je
suis tout à fait comme toi; je n'ai confiance qu'en moi-même.