"F.T."
: 1
P.M.
-27-
ein.
V.H.P.
FREDERIC.- Ah, tu la sais par coeur. "Ce que je désigne par le mot
insensé de fidelité, n'est au fond que l'espoir qu'il vous
riendra un jour".
CENIA.- C'était sa manière de voir. Tu sais que je ne l'empère pas -
et que je ne souhaite rien.
FREDERIC.- (la regarde, puis) " uand je vous ai parlé hier, j'étais
dejà décide". Hier?... Il était là dimanche? Oui, c'est vrai
Vous vous promeniez dans l'allée de long en large... oui...
(II lit)
Quand je vous ai parlé hier, je savais déjà
" que ma décision dépendrait d'un oùI ou d’un NON de vous. Je
ne vus l'ai pas dit car je craignais que si vous aviez soup-
çonné qu'il me fût tout à fait impossible de continuer à vivre
" dans vous... "Il écrit un peu longuement M. Alexis Korsakow...
(On entend la musique du casino un peu assourdie)
ne voulais pas devoir mon bonheur à une obligation ni à une
sorte de contrainte, c'est pourquoi... "Aurais-tu dit OUI,si
tu avais su qu'il s'agissait de la vie ou de la mort?
ONNIA.- Si je l'avais SU...? Comment peut-on savoir... Je ne l'aurais
pas cru. Je ne l'aurais certainement pas cru.
FREDERIC. - Je veux te poser la question d'une autre manière.
Paul KREINDL (elegant, jeune, mis à la dernière mode, parait à la
porte).
Bonsoir! Je vous présente mes hommages, madame!
FREDERIC.- Qu'est-cer... ah, Paul, c'est vous! (11 monte)
PAUL. - Excusez-moi (Il s'approche)
Je ne veux pas vous déranger. Je
suis envoyé du casino par Mme von Wahl et made oiselle Erna, le
lieutenant von Aigner et le capitaine Stanzides....
FREDERIC.- Il sort déjà?
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P.M.
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ein.
V.H.P.
FREDERIC.- Ah, tu la sais par coeur. "Ce que je désigne par le mot
insensé de fidelité, n'est au fond que l'espoir qu'il vous
riendra un jour".
CENIA.- C'était sa manière de voir. Tu sais que je ne l'empère pas -
et que je ne souhaite rien.
FREDERIC.- (la regarde, puis) " uand je vous ai parlé hier, j'étais
dejà décide". Hier?... Il était là dimanche? Oui, c'est vrai
Vous vous promeniez dans l'allée de long en large... oui...
(II lit)
Quand je vous ai parlé hier, je savais déjà
" que ma décision dépendrait d'un oùI ou d’un NON de vous. Je
ne vus l'ai pas dit car je craignais que si vous aviez soup-
çonné qu'il me fût tout à fait impossible de continuer à vivre
" dans vous... "Il écrit un peu longuement M. Alexis Korsakow...
(On entend la musique du casino un peu assourdie)
ne voulais pas devoir mon bonheur à une obligation ni à une
sorte de contrainte, c'est pourquoi... "Aurais-tu dit OUI,si
tu avais su qu'il s'agissait de la vie ou de la mort?
ONNIA.- Si je l'avais SU...? Comment peut-on savoir... Je ne l'aurais
pas cru. Je ne l'aurais certainement pas cru.
FREDERIC. - Je veux te poser la question d'une autre manière.
Paul KREINDL (elegant, jeune, mis à la dernière mode, parait à la
porte).
Bonsoir! Je vous présente mes hommages, madame!
FREDERIC.- Qu'est-cer... ah, Paul, c'est vous! (11 monte)
PAUL. - Excusez-moi (Il s'approche)
Je ne veux pas vous déranger. Je
suis envoyé du casino par Mme von Wahl et made oiselle Erna, le
lieutenant von Aigner et le capitaine Stanzides....
FREDERIC.- Il sort déjà?