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NAUER.- Ah.
FREDERIC.- Tu as lu
raconter.
AUER.- Entendul, pour dire la verité.
FRÉDERIC.- Alors je te demande: que dois-je faise?
MAUER. - Ce que tu dois faire? Tu as la preuve en maine. La lettre de
Korsakon à ta femme....
FREDERIC.- A quoi peut-elle me servir? Je ne peux pas montrer... ce
serait de bien mauvais goût....
l'AUER.- Aoui, alors... Ne t'occupes pas de cela. Ce bruit s'apaisera
comme il a commence. Il n'est pas possible que les gens intel-
ligents croient serieusement quelque chose de semblable de ta
FRED.MIC. - Si. tout de même - il en reste quelque chose. Et quelqu'un
part.
a écrit cette infamie le premier. Si on savait à quoi s'en tenir?
MAUAR.- On peut difficilement depister l'auteur.
FREDERIC. - Pour moi, il est depisté. C'est matter.
MAUER. - Tu crois?
REDERIC.- C'est sachengeance... Il a tout su...
MUER.- (vite) Il a tout su?
FREDERIC.- Oui.- Il y a moins de maris trompés que les femmes et même
les smants ne le croient
soulevé
MAUR.- As-tu des preuves que ce bruit a été par lui?
FREDERIC.- Des preuves, non.
MAUER. - Alors tu ne peux rien faire.
FEDERIC. - Je peux lui poser carrément la question.
AUER.- Il mentire naturelle ent.
FREDERIC.- Je peux le punir.
MAUER.- cela ne changera rien à la situation.
FREDERIO. - Mais peut-être à mon humeur.
NAUER.- Ah.
FREDERIC.- Tu as lu
raconter.
AUER.- Entendul, pour dire la verité.
FRÉDERIC.- Alors je te demande: que dois-je faise?
MAUER. - Ce que tu dois faire? Tu as la preuve en maine. La lettre de
Korsakon à ta femme....
FREDERIC.- A quoi peut-elle me servir? Je ne peux pas montrer... ce
serait de bien mauvais goût....
l'AUER.- Aoui, alors... Ne t'occupes pas de cela. Ce bruit s'apaisera
comme il a commence. Il n'est pas possible que les gens intel-
ligents croient serieusement quelque chose de semblable de ta
FRED.MIC. - Si. tout de même - il en reste quelque chose. Et quelqu'un
part.
a écrit cette infamie le premier. Si on savait à quoi s'en tenir?
MAUAR.- On peut difficilement depister l'auteur.
FREDERIC. - Pour moi, il est depisté. C'est matter.
MAUER. - Tu crois?
REDERIC.- C'est sachengeance... Il a tout su...
MUER.- (vite) Il a tout su?
FREDERIC.- Oui.- Il y a moins de maris trompés que les femmes et même
les smants ne le croient
soulevé
MAUR.- As-tu des preuves que ce bruit a été par lui?
FREDERIC.- Des preuves, non.
MAUER. - Alors tu ne peux rien faire.
FEDERIC. - Je peux lui poser carrément la question.
AUER.- Il mentire naturelle ent.
FREDERIC.- Je peux le punir.
MAUER.- cela ne changera rien à la situation.
FREDERIO. - Mais peut-être à mon humeur.