A244: Französischsprachige Übersetzungen III Le Pays Inconnu, Seite 118

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tendu jusqu'à une heure et demie. A une heuze et de mie la fenêtre
s'est ouverte, un monsieur est descendu, a disparu un moment pour
moi dans l'obscurité du jardin;.j'entends la porte du fardin
s'ouvrir, et aussitôt passe près de moi la silhouette élégante
de l'Enseigne de Vaisseau Otto von ligner.
4.7.
Tiens. Et qu'as-tu fait alors?
Js me suis couché sur la pelouse.
Tu y'étais déjà.
JHERRIC.- C'est juste. Mais je me suis arrangé plus commodement, parce
que je n'avais plus à guetter xxxautom. Et j'ai merveilleusement
dormi jusqu'à sept heures du matin. C'est vraiment enquis de dor-
mir en plein air par une belle nuit d'été. On me l'avait vanté
il n'y a pas longtemps.
VER. Tu ne penses pas j'espère, t'enprendre à Genia ou à lui. la
seule chose que tu puisses et doives faire - c'est une fin nette
Pr.J. B.H.C.- Oui te parle de fin :
va de ser.
Cela du peux d'ailleurs le faire sans bruit. Tu
n'as qu'à partir pour l'Amérique un peu plus tôt aus tu en avais
l'intention.
accompagnére
FRURRIe.- Genia xxx en Amérique.
AU R.– Ah -?
EDERIC. - Oui.
d’interpréter
. - (haussant les épaules) Tu me per lettres de prendre cette connu¬
comme
nication dans la dernière preuve de ta confiance, jusqu'à nouvel
ordre. Waintenant
RATTER (arrive) -- Oh, bonsoir, docteur Mauer, comment-allez-vous?
Mon cher Hofreiter, je voulais vous demander, parce que nous
n'allons plus pouvoir rester longte ps...
TAUER.- Tu me permets d'aller dire bonsoir à ta femme....