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PAUL.- (qui était avec Erna et Mme Wahl, vient vers les précédents).Eh
bien lieutenant, notre "Signle" si vous voulez (A Drédéric)
Nous
ne jouons aujourd'hui que des "Sangle". Vous devriez aussi y pren-
dre part M. Hofreiter; le lieutenant von Aigner part demain et
les rangs doivent être absolument déterminés aujourd'hui.
FREDERIC.- Mais naturellement. Je suis à votre disposition. Ne vous
dérangez pas - je bois seulement mon café.
( M. Hatter, Stanzides, Genia, - après les premiers mots
de Frédéric à Otto sur Aigner, - et Gustave, sont
déjà partis; Paul, Adèle et Otto les suivent).
ERNA. DREOERRIC.
ERNA.- (est restée debout derrière le siège de Frédéric)
FREDERIC.- Oh Erna.... (il reste assis)
ERNA.- Je suis si heureuse que tu sois de retour.
FREDERIC.- Vraiment? (Il lui baise la main) Moi aussi.
ERMA.- Et maintenant je veux savoir aussi vite que possible le vérita-
ble motif de ton départ.
FREDERIC.-Que tu es drôle, Erna. Je te l'ai dit. Je t'avais révenue
de cela. Si j'étais resté, au bout de quelques jours - que dis-je
le même jour, - tout l'hôtel aurait été au courant. C'est comme
ca. Tu sais bien les rayons autour de la tête. Nous les avons
loyalement gagnés.
Et si on les avait vus?
ERNA.
FREDERIC.- Enfant!... On ne doit pas se révéler ainsi au monde. D'au-
tant moins qu'on le méprise. Le monde ne comprend pas cela. Ou
bien il le comprend à sa manière, ce qui est encore pire! Tu de-
vrais me savoir gré, au contraire, de ne t'avoir pas "compromise"
Plus tard tu m'en aurais peut-être voulu.
ERMA.- Plus tard?.. Ah ouil... Je ne veux pas me marier, Frédéric.
PAUL.- (qui était avec Erna et Mme Wahl, vient vers les précédents).Eh
bien lieutenant, notre "Signle" si vous voulez (A Drédéric)
Nous
ne jouons aujourd'hui que des "Sangle". Vous devriez aussi y pren-
dre part M. Hofreiter; le lieutenant von Aigner part demain et
les rangs doivent être absolument déterminés aujourd'hui.
FREDERIC.- Mais naturellement. Je suis à votre disposition. Ne vous
dérangez pas - je bois seulement mon café.
( M. Hatter, Stanzides, Genia, - après les premiers mots
de Frédéric à Otto sur Aigner, - et Gustave, sont
déjà partis; Paul, Adèle et Otto les suivent).
ERNA. DREOERRIC.
ERNA.- (est restée debout derrière le siège de Frédéric)
FREDERIC.- Oh Erna.... (il reste assis)
ERNA.- Je suis si heureuse que tu sois de retour.
FREDERIC.- Vraiment? (Il lui baise la main) Moi aussi.
ERMA.- Et maintenant je veux savoir aussi vite que possible le vérita-
ble motif de ton départ.
FREDERIC.-Que tu es drôle, Erna. Je te l'ai dit. Je t'avais révenue
de cela. Si j'étais resté, au bout de quelques jours - que dis-je
le même jour, - tout l'hôtel aurait été au courant. C'est comme
ca. Tu sais bien les rayons autour de la tête. Nous les avons
loyalement gagnés.
Et si on les avait vus?
ERNA.
FREDERIC.- Enfant!... On ne doit pas se révéler ainsi au monde. D'au-
tant moins qu'on le méprise. Le monde ne comprend pas cela. Ou
bien il le comprend à sa manière, ce qui est encore pire! Tu de-
vrais me savoir gré, au contraire, de ne t'avoir pas "compromise"
Plus tard tu m'en aurais peut-être voulu.
ERMA.- Plus tard?.. Ah ouil... Je ne veux pas me marier, Frédéric.