A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 118

-117-
se peut que je n'ai aucune envie de terminer l'affaire l'epée
à la main.
FRE. - Mais d'une autre manière.
NATTER.- Si j'en avais eu la moindre envie... Il n'y a pas si longtemps
j'ai eu de meilleures occasions.
FRED.- Pourquoi ne l'avez-vous pas fait? On ne se décide pas tout d'un
coup... Je sais que vous avez risqué votre précieuse vie pour
moins que cela quand vous étiez un jeune homme.
assurer. - Pour moins? Pour autre chose.
FREDERIC.- Si cela vous touche de si près - pourquoi restez-vous avec
votre femme?
UATTER.- Je veux vous l'expliquer. Parce que l'existence sans Adèle me
parait un non-sens complet. Je l'aime sans espoir de guéison.
Cela arrive, Hofreiter. On n'y peut rien. Si vous saviez ce que
J'ai essayé pour me libérer d'elle intérieurement -! Mais en vain
... Tout à fait en vain... Je l'aime.. malgré tout -! C'est in¬
croyable n'est-ce pas? - Mais c'est ainsi!
FREDERIC. - Et vous vons vengez sur moi en inventant une monstruosite?
UATTER. - Peut-être en faisant connaître une vérité.
FREDERIC.- Vous croyez vraiment à cela?... à ce duel américain...
UATTER. - Prouvez-moi le contraire.
FREUERIC.- Je pourrais le faire... je connais le motif du outside da
Korsakow. Je sais, que... Mais qu'est-ce que je vais faire làp
Moi, me justifier devant... vous... Vous...
UATTER. - Prenez garde.
FREDERIC.- Je vous jure, que vous vous tromvez, je vous le jure...
assur. - Sur la vertu de votre femme, n'est-ce pas?
FRED.- Monsieur.... (il marche sur lui).
WATTER.- (le prend par le bras) Restez tranquille, pas de tapage. Je