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ne veux pas me battre avec vous. Mais encore un mot et...
FRE. - Je suis donc désarmé, précisément contre vous y
UATTER. - Cela arrive parfois.
FRED.-üx.... contre un...
UATTER.- Contre un homme, qui trouve la vie prodigieusement amusante...
mon cher Hofreiter - et seulement amuante.
PAUL (vient du diunis) - Excusez-moi de vous déranger. M. Hofreiter.-
c'est votre tour de jouer avec le Lieutenant.
FREDRIC.- Oui... oui... Je suis prêt - La situation doit finalement
être éclaircie... je sais...
UATTER.- Oh, je vous en prie, ne vous gênez pas. (A voix plus basse)
Il s'agit peut-être aussi de vie oubde mort?
FREDERIC. - Peut-être.
MAUER à GENIA (viennent de l'arrière)
MAUER.- (veut rendre congé) Allons,cher ami.
FREDERIC.- Non, tu ne dois pas partir ainsi. Retiens-le Genia. -
tous tes moyens de séduction.
(Frédéric, Paul et Natter, vers le tennis)
MAUER. GENIA
GENIA. - Je crains que mes moyens ne soient pas efficaces.
MAUER. - Je dois malheureusement partir, madame.
GENIA.- Et je puis supposer qu'on ne vous reverra pas ici de longtemps.
MAUER.- Je le crains, madame.
GENIA.- (le regarde) cela me fait de la peine d'avoir perdu un ami.
Moi surtout oni n'ai vraiment rien à me reprocher, au moins
contre vous. Pourquoi ne me répondez-vous pas docteur? Je ne
veux pas forcer votre confiance, d'autant moins que je me doute
de la raison qui vous éloigne d'ici.
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ne veux pas me battre avec vous. Mais encore un mot et...
FRE. - Je suis donc désarmé, précisément contre vous y
UATTER. - Cela arrive parfois.
FRED.-üx.... contre un...
UATTER.- Contre un homme, qui trouve la vie prodigieusement amusante...
mon cher Hofreiter - et seulement amuante.
PAUL (vient du diunis) - Excusez-moi de vous déranger. M. Hofreiter.-
c'est votre tour de jouer avec le Lieutenant.
FREDRIC.- Oui... oui... Je suis prêt - La situation doit finalement
être éclaircie... je sais...
UATTER.- Oh, je vous en prie, ne vous gênez pas. (A voix plus basse)
Il s'agit peut-être aussi de vie oubde mort?
FREDERIC. - Peut-être.
MAUER à GENIA (viennent de l'arrière)
MAUER.- (veut rendre congé) Allons,cher ami.
FREDERIC.- Non, tu ne dois pas partir ainsi. Retiens-le Genia. -
tous tes moyens de séduction.
(Frédéric, Paul et Natter, vers le tennis)
MAUER. GENIA
GENIA. - Je crains que mes moyens ne soient pas efficaces.
MAUER. - Je dois malheureusement partir, madame.
GENIA.- Et je puis supposer qu'on ne vous reverra pas ici de longtemps.
MAUER.- Je le crains, madame.
GENIA.- (le regarde) cela me fait de la peine d'avoir perdu un ami.
Moi surtout oni n'ai vraiment rien à me reprocher, au moins
contre vous. Pourquoi ne me répondez-vous pas docteur? Je ne
veux pas forcer votre confiance, d'autant moins que je me doute
de la raison qui vous éloigne d'ici.