C'est vous, vous tous qui êtes trop
comme il arrive souvent en été - Fritzi
méchants pour pouvoir comprendre
n'était pas là - Anna était seule. C'est
vous me poussez à la mort.
donc bien compréhensible, qu'en de pareilles,
a soit
Si j'essayais de vous expliquer cet
circonstances, une peur affreuse d'empara
évenement au point de vue scientifique,
d'elle à la vue de ces Sauvages noirs.
vous vous moqueriez de moi, j'en suis
En vain, elle attendit Fritze pendant
sûr - on bien vous diriez :
dent heures. Enfin, elle dut partir parce
Chamayer est fon. "Vous n'aurez
qu'on allait fermer les portes du parc.
point ce loisie. Je meurs, pour
Le lendemain, elle me conta la chose,
la vérité avec cette conviction; pour
elle était pâle et tremblante, j'eus peur
la vérité et surtout pour sauver
moi-même. Et pourtant, je ne savais
l'honneur de ma femme.
pas qu'elle portait notre enfant dans
Nous ne vous moquerez plus, d'elle
ses flancs, elle non plus n'en savait
ni de moi quand je ne serai plus
rien. Je n'aurais jamais permis qu'
de ce monde.
elle allât s'exposer à tous les dangers
Nous comprendrez alors, qu'il arrive de
possibles, un soir pareil au Prater.
telles choses comme en content Héliadore
Tout est dangereux pour une femme
Liembäck, Malebranche, etc.
enceinte. Il est vrai, qu'elle n'an
Ma mère. tu n'aurais pas du me
rait pas en une fraieur pareille si
serrer la main comme si je méri_
Fritzi ne s'était pas éloignée, et voilà
tais ta pitié. Je sais, que tu iras
justement le malheur, elle se vit
demander pardon à ma femme...
abandonnée sans savoir ce que Fritgi
Je crois, que j'ai tout dit. Voilà
était devenue.....
une heure qui sonne
Je ne veux pas citer la pierre à
Bonne nuit, mes chères!
personne. Si j'écris tout cela, c'est
Il faut que j'aille encore une
qu'il est nécessaire que l'affaire soit
dans la chambre
fois embrasser ma femme et mon
éclaircie. Si je ne le faisais pas
enfant pour la dernière fois. Ensuite,
les gens, ces misérables pourraient dire :
Adieu.
Il s'est tué de désespoir, parce que sa
femme l'a trompé... Oh nou!
Vienne le 22 février 1916
Ce répète encore que ma femme m'
est fidèle et son enfant et non enfants
Je les aimerai jusqu'à mon dernier souffle
comme il arrive souvent en été - Fritzi
méchants pour pouvoir comprendre
n'était pas là - Anna était seule. C'est
vous me poussez à la mort.
donc bien compréhensible, qu'en de pareilles,
a soit
Si j'essayais de vous expliquer cet
circonstances, une peur affreuse d'empara
évenement au point de vue scientifique,
d'elle à la vue de ces Sauvages noirs.
vous vous moqueriez de moi, j'en suis
En vain, elle attendit Fritze pendant
sûr - on bien vous diriez :
dent heures. Enfin, elle dut partir parce
Chamayer est fon. "Vous n'aurez
qu'on allait fermer les portes du parc.
point ce loisie. Je meurs, pour
Le lendemain, elle me conta la chose,
la vérité avec cette conviction; pour
elle était pâle et tremblante, j'eus peur
la vérité et surtout pour sauver
moi-même. Et pourtant, je ne savais
l'honneur de ma femme.
pas qu'elle portait notre enfant dans
Nous ne vous moquerez plus, d'elle
ses flancs, elle non plus n'en savait
ni de moi quand je ne serai plus
rien. Je n'aurais jamais permis qu'
de ce monde.
elle allât s'exposer à tous les dangers
Nous comprendrez alors, qu'il arrive de
possibles, un soir pareil au Prater.
telles choses comme en content Héliadore
Tout est dangereux pour une femme
Liembäck, Malebranche, etc.
enceinte. Il est vrai, qu'elle n'an
Ma mère. tu n'aurais pas du me
rait pas en une fraieur pareille si
serrer la main comme si je méri_
Fritzi ne s'était pas éloignée, et voilà
tais ta pitié. Je sais, que tu iras
justement le malheur, elle se vit
demander pardon à ma femme...
abandonnée sans savoir ce que Fritgi
Je crois, que j'ai tout dit. Voilà
était devenue.....
une heure qui sonne
Je ne veux pas citer la pierre à
Bonne nuit, mes chères!
personne. Si j'écris tout cela, c'est
Il faut que j'aille encore une
qu'il est nécessaire que l'affaire soit
dans la chambre
fois embrasser ma femme et mon
éclaircie. Si je ne le faisais pas
enfant pour la dernière fois. Ensuite,
les gens, ces misérables pourraient dire :
Adieu.
Il s'est tué de désespoir, parce que sa
femme l'a trompé... Oh nou!
Vienne le 22 février 1916
Ce répète encore que ma femme m'
est fidèle et son enfant et non enfants
Je les aimerai jusqu'à mon dernier souffle