porte cochère et il a dit à une vieille dame.
„Le voici”. C'est drôle; des gens que je ne
connais point, le savent. J'ai entendu,
avant hier trois vieilles femmes en parler
dans l'omnibus.
Que dois-je faire? Je ne puis pourtant
pas dire à chacun: Lisez les miracle de
la nature par Hamburg. L'égarement
de la vue chez les femmes enceintes par
Limböck. Je ne puis non plus me
mettre à genoux et les implorer, leur
dire : "Ne sayez pas si cruels"... ma
femme m'a toujours été fidèle "!
Sa vue s'est égarée, quand elle est allée
avec sa sœur au fardin Zoologique
regarder les negres. Je n'étais pas à la
maison. - J'étais à la campagne chez
mes parents, mon père était bien malade¬
il est mort peu de temps après. Eh bien
Anna était seule; je l'ai trouvée à mon
retour couchée - malade de nostalgie.
Mon absence, pourtant n'avait dure
que trois jours, mais son amour pour
moi était si grand, qu'elle n'avait pu
la supporter. Je dus m'asseoir à son
chevet, elle me raconta de quelle sorte
elle avait passé ces trois jours. Je note
ici son récit avec la plus grande exactitude.
Lundi matin, elle était restée à la maison,
mais après le dîner, elle était sortie avec
Fritzi - sa sœur - en ville pour faire des
emplettes. Fritzi est fiancée avec un
jeune homme tout comme il faut
qui a une excellente position dans une
grande maison de commerce à Brême
Ils se marieront bientôt. Mais
retournons à nos moutons!
Mardi, ma femme resta toute la
journée à la maison, parce qu'il
plenvait. Je me rappelle qu'il
pleuvait aussi, à la campagne ce
jour-là. Le mercredi m'a femme
alla avec Fritzi au jardin zoologique
ou des negres avaient établi leur
tente. Moi je les ai vu plus tard
ces noirs - c'était un soir de septembre
Anna ne voulut absolument pas
m'y accompagner, elle les avait en
Charreur depuis ce mercredi. Elle me
dit que jamais de sa vie, elle n'avait
ressenti une pareille terreur comme
ce soir-là quand elle s'était vue
seule avec les nèvres. Oui, elle était
seule parce que Fritzi s'était perdue
tout à coup. Je ne puis passer outre
cette chose, un que c'est ma dernière
lettre, je ne voudrais pourtant pas
offenser Fritzi. Je veux seulement
lui conseiller de ne pas faire de la
peine à son france. Matheurew¬
sement, le fait est que ce soir-là, Fritzé,
s'égara avec un monsieur que je
connais très bien, et qui ne jouit pas
de la meilleure réputation, quoiqu'il
soit déjà marié - et ma pauvre femme
se trouva seule. Le soir était brument
„Le voici”. C'est drôle; des gens que je ne
connais point, le savent. J'ai entendu,
avant hier trois vieilles femmes en parler
dans l'omnibus.
Que dois-je faire? Je ne puis pourtant
pas dire à chacun: Lisez les miracle de
la nature par Hamburg. L'égarement
de la vue chez les femmes enceintes par
Limböck. Je ne puis non plus me
mettre à genoux et les implorer, leur
dire : "Ne sayez pas si cruels"... ma
femme m'a toujours été fidèle "!
Sa vue s'est égarée, quand elle est allée
avec sa sœur au fardin Zoologique
regarder les negres. Je n'étais pas à la
maison. - J'étais à la campagne chez
mes parents, mon père était bien malade¬
il est mort peu de temps après. Eh bien
Anna était seule; je l'ai trouvée à mon
retour couchée - malade de nostalgie.
Mon absence, pourtant n'avait dure
que trois jours, mais son amour pour
moi était si grand, qu'elle n'avait pu
la supporter. Je dus m'asseoir à son
chevet, elle me raconta de quelle sorte
elle avait passé ces trois jours. Je note
ici son récit avec la plus grande exactitude.
Lundi matin, elle était restée à la maison,
mais après le dîner, elle était sortie avec
Fritzi - sa sœur - en ville pour faire des
emplettes. Fritzi est fiancée avec un
jeune homme tout comme il faut
qui a une excellente position dans une
grande maison de commerce à Brême
Ils se marieront bientôt. Mais
retournons à nos moutons!
Mardi, ma femme resta toute la
journée à la maison, parce qu'il
plenvait. Je me rappelle qu'il
pleuvait aussi, à la campagne ce
jour-là. Le mercredi m'a femme
alla avec Fritzi au jardin zoologique
ou des negres avaient établi leur
tente. Moi je les ai vu plus tard
ces noirs - c'était un soir de septembre
Anna ne voulut absolument pas
m'y accompagner, elle les avait en
Charreur depuis ce mercredi. Elle me
dit que jamais de sa vie, elle n'avait
ressenti une pareille terreur comme
ce soir-là quand elle s'était vue
seule avec les nèvres. Oui, elle était
seule parce que Fritzi s'était perdue
tout à coup. Je ne puis passer outre
cette chose, un que c'est ma dernière
lettre, je ne voudrais pourtant pas
offenser Fritzi. Je veux seulement
lui conseiller de ne pas faire de la
peine à son france. Matheurew¬
sement, le fait est que ce soir-là, Fritzé,
s'égara avec un monsieur que je
connais très bien, et qui ne jouit pas
de la meilleure réputation, quoiqu'il
soit déjà marié - et ma pauvre femme
se trouva seule. Le soir était brument