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A C T E II.
Une chambre au rez-de -chaussée dans la villa habitée par Paul. - une
porte à droite, une à gauche.Deux fenêtres dans le fond sont ouvertes
et donnent sur le jardin. On voit la grille avec la porte d'entrée - il
est 8 heures du matin.
SCEND.
PAUL,LEOPOLD, LE Docreur weLLNER
(Au lever du rideau on voit Paul assis à une fenêtre,lisant un journal
et fumant une vigarette ; quelques secondes après on voit apparaître à
la grille Leopold et le docteur Wellner. Paul leur fait un signe amical
se lève et va à leur rencontre. Il rentre aussitôt avec eux,mais les
premiers propos sont échangés au dehors.)
LE Do C T E U R
Bonjour mon vieux,ça va?
LE C O L D
Où t'es tu fourré hier,on t'a cherché partout,tu étais introuvable?
LE9DOCTEUR
Nous aurions bien aimé causer avec toi.
LEOPOLD
Enfin tant pis,on causera maintenant ; du reste, tu sembles avoir
bien dormi, tu as la mine fraîche.
LE DoCTEUR
Allons,allons ne perdons pas de temps ; les témoins peuvent arriver d'un
moment à l'autre.
PAUL
Ils sont déjà venus.
LE Do C T E U R
Eh bien?
LEOPOLD.
J'épère que tu n'as pas oublié que nous nous sommes mis à ta disposition.
PAUL
Mes enfants, je trouve charmant de votre part d'être venu me rendre
visite à une heure si matinale. Mais... Je n'ai pas besoin de vous.
A C T E II.
Une chambre au rez-de -chaussée dans la villa habitée par Paul. - une
porte à droite, une à gauche.Deux fenêtres dans le fond sont ouvertes
et donnent sur le jardin. On voit la grille avec la porte d'entrée - il
est 8 heures du matin.
SCEND.
PAUL,LEOPOLD, LE Docreur weLLNER
(Au lever du rideau on voit Paul assis à une fenêtre,lisant un journal
et fumant une vigarette ; quelques secondes après on voit apparaître à
la grille Leopold et le docteur Wellner. Paul leur fait un signe amical
se lève et va à leur rencontre. Il rentre aussitôt avec eux,mais les
premiers propos sont échangés au dehors.)
LE Do C T E U R
Bonjour mon vieux,ça va?
LE C O L D
Où t'es tu fourré hier,on t'a cherché partout,tu étais introuvable?
LE9DOCTEUR
Nous aurions bien aimé causer avec toi.
LEOPOLD
Enfin tant pis,on causera maintenant ; du reste, tu sembles avoir
bien dormi, tu as la mine fraîche.
LE DoCTEUR
Allons,allons ne perdons pas de temps ; les témoins peuvent arriver d'un
moment à l'autre.
PAUL
Ils sont déjà venus.
LE Do C T E U R
Eh bien?
LEOPOLD.
J'épère que tu n'as pas oublié que nous nous sommes mis à ta disposition.
PAUL
Mes enfants, je trouve charmant de votre part d'être venu me rendre
visite à une heure si matinale. Mais... Je n'ai pas besoin de vous.