rien. Une terreur falle s'empara d'elle;
elle se mit à crier, mais cela ne fit qu'elle
agrandir sa peur, parce qu'elle n'entendit
pas ses cris. Elle se rappelait maintenant,
ce qui s'était passé : la voiture avait hearté
à quelque chose, peut-être à la borné kilométrique
elle avait été renversée et elle lancée dehors.
Et lui, on est-il? telle est sa première pensée.
Elle l'appelle par son nom. Elle entend sa propre
voix, très basse, mais elle l'entend. Pas de réponse
Elle essaye de se relover et ne n'enssit qu'à être
assise à terre, et en tant de ses mains, elle
sent un corps humain près d'elle. P en à peu
ses yens peuvent transpercer l'obscurité. Elle
voit Franz étendu près d’elle inanime, elle
passe sa mains sur son visage et sent
quelque chose d'humide et de chaud. Son
souffle s'arrête. Du sang?? Que est-il
arrivé? Franz blessé et sans connaissance.
On est donc le cocher? Elle l'appelle. Pas
de réponse. toujours assise par terre, elle
se dit que rien ne lui est arrivé à elle
quoiqu'elle sente des douleurs dans tous
les membres. Que faire mon Dieu, que faire
Comment est-ce possible que rien ne me
soit arrivé! - Franz! Franz! Une voix lui
répond tout près d'elle - On êtes-vous. Madame
on est M. sieur? Puen n'est arrivé, n’est-ce
Madame
pas? Attendez, que j'allume moi lanterne,
que nous voyons clavé; je ne sais pas ce que
ces rosses ont aujourd'hui. Ce n'est pas ma
faute, sur mon âme... elles sont allées sur
un tas de pierres ces mandites bêtes,
Emma, malgré ses membres endaloris, s’était
adressée tout à fait; elle était plus tranquille
de voir le cocher sur pied et que rien ne lui
fut arrivé. Elle entendit cet homme ouvrir
la paroi de sa lanterne elle entendit frotter
l'alumette. Pleine d'angaisse elle attendit
la lumière. Elle avait peur de toucher
Franz encore une fois, lui, qui gisait là à
terre; elle pensait que quand on ne voit
rien tout semble plus terrible. il a sans
dante les yeux anverts... ce ne sera rien
Une clarté s'avançait de côté. Elle vit
tout à coup la voiture, sa surprise fut
elle se mit à crier, mais cela ne fit qu'elle
agrandir sa peur, parce qu'elle n'entendit
pas ses cris. Elle se rappelait maintenant,
ce qui s'était passé : la voiture avait hearté
à quelque chose, peut-être à la borné kilométrique
elle avait été renversée et elle lancée dehors.
Et lui, on est-il? telle est sa première pensée.
Elle l'appelle par son nom. Elle entend sa propre
voix, très basse, mais elle l'entend. Pas de réponse
Elle essaye de se relover et ne n'enssit qu'à être
assise à terre, et en tant de ses mains, elle
sent un corps humain près d'elle. P en à peu
ses yens peuvent transpercer l'obscurité. Elle
voit Franz étendu près d’elle inanime, elle
passe sa mains sur son visage et sent
quelque chose d'humide et de chaud. Son
souffle s'arrête. Du sang?? Que est-il
arrivé? Franz blessé et sans connaissance.
On est donc le cocher? Elle l'appelle. Pas
de réponse. toujours assise par terre, elle
se dit que rien ne lui est arrivé à elle
quoiqu'elle sente des douleurs dans tous
les membres. Que faire mon Dieu, que faire
Comment est-ce possible que rien ne me
soit arrivé! - Franz! Franz! Une voix lui
répond tout près d'elle - On êtes-vous. Madame
on est M. sieur? Puen n'est arrivé, n’est-ce
Madame
pas? Attendez, que j'allume moi lanterne,
que nous voyons clavé; je ne sais pas ce que
ces rosses ont aujourd'hui. Ce n'est pas ma
faute, sur mon âme... elles sont allées sur
un tas de pierres ces mandites bêtes,
Emma, malgré ses membres endaloris, s’était
adressée tout à fait; elle était plus tranquille
de voir le cocher sur pied et que rien ne lui
fut arrivé. Elle entendit cet homme ouvrir
la paroi de sa lanterne elle entendit frotter
l'alumette. Pleine d'angaisse elle attendit
la lumière. Elle avait peur de toucher
Franz encore une fois, lui, qui gisait là à
terre; elle pensait que quand on ne voit
rien tout semble plus terrible. il a sans
dante les yeux anverts... ce ne sera rien
Une clarté s'avançait de côté. Elle vit
tout à coup la voiture, sa surprise fut