grande de ne pas la voir dans le fossé, mais
de travers sur le revers de la route, comme
si une sone était cassée. Les chevaux sur
pied étaient entièrement calmes. La lu¬
mière approchait. elle voyait successive.
ment le reflet se porter sur la borne
kilométrique; ensuite sur le tas de pierres et
glisser dans le fossé; puis sur les pieds
de Franz et, passant sur son corps éclairez
le visage et s'y attacher. Le cocher avait
mis la lanterne par terre; juste à
côté de la tête du blesse. Emma s'agenanilla
pour le voir, elle cent en apercevant ce
visage que son cœur avait cessé de battre
Il était pâle; les yeux à demi enverts
de telle sorte, qu'elle ne voyait que le
blanc. De la tempe droite, ruisselait une
raie de sang tout lentement sur la joue
pour se perdre dans le son sons le col de la
chemise. Les dents mordaient la livre
inférieure. - Est ce possible, mon Dieu! est-
ce possible! murmure Emma,
Le cocher s'était aussi agenouillé et
fisait le visage du blessé. Il saisit la tête
de ses deux mains et la fit se redresser :
- Que faites-vous? s’écrie Emma, la voix
étoiffée; elle s'effrayait de cette tête qui
semblait se dresser d'elle-même.
-ge crois, Madame, qu'il est arrivé un grand
Malheur
Ce n'est pas vrai, dit Emma. Ça ne peut
pas être.Vous est-il arrivé quelque chose
à vous? Et moi...
Le cocher laissa retomber lentement la
tête de cet être manimé; - sur les genons
tremblants d'Emma. - Si quelqu'un venait
si les paysans étaient passés un quart
d'heure plus tard... Que
Que faire? Dit Emma et ses lèvres tremblaires.
- Om. Madame si la voiture n'était pas
cassée... mais comme elle est abîmée...
Il faut attendre que quelqu'un passé
Il parlait encore qu'elle ne l'entendait plus
pendant ce temps, elle se sentait revenir
à elle, et savait ce qu'on devait faire
-A quelle distance - est la plus proche maison
de travers sur le revers de la route, comme
si une sone était cassée. Les chevaux sur
pied étaient entièrement calmes. La lu¬
mière approchait. elle voyait successive.
ment le reflet se porter sur la borne
kilométrique; ensuite sur le tas de pierres et
glisser dans le fossé; puis sur les pieds
de Franz et, passant sur son corps éclairez
le visage et s'y attacher. Le cocher avait
mis la lanterne par terre; juste à
côté de la tête du blesse. Emma s'agenanilla
pour le voir, elle cent en apercevant ce
visage que son cœur avait cessé de battre
Il était pâle; les yeux à demi enverts
de telle sorte, qu'elle ne voyait que le
blanc. De la tempe droite, ruisselait une
raie de sang tout lentement sur la joue
pour se perdre dans le son sons le col de la
chemise. Les dents mordaient la livre
inférieure. - Est ce possible, mon Dieu! est-
ce possible! murmure Emma,
Le cocher s'était aussi agenouillé et
fisait le visage du blessé. Il saisit la tête
de ses deux mains et la fit se redresser :
- Que faites-vous? s’écrie Emma, la voix
étoiffée; elle s'effrayait de cette tête qui
semblait se dresser d'elle-même.
-ge crois, Madame, qu'il est arrivé un grand
Malheur
Ce n'est pas vrai, dit Emma. Ça ne peut
pas être.Vous est-il arrivé quelque chose
à vous? Et moi...
Le cocher laissa retomber lentement la
tête de cet être manimé; - sur les genons
tremblants d'Emma. - Si quelqu'un venait
si les paysans étaient passés un quart
d'heure plus tard... Que
Que faire? Dit Emma et ses lèvres tremblaires.
- Om. Madame si la voiture n'était pas
cassée... mais comme elle est abîmée...
Il faut attendre que quelqu'un passé
Il parlait encore qu'elle ne l'entendait plus
pendant ce temps, elle se sentait revenir
à elle, et savait ce qu'on devait faire
-A quelle distance - est la plus proche maison