A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 19

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est oublié
que leur nom mais sion de ce qu'ils ont pu faire. Je crois que
cela suffirait à rendre un homme fou.
FREDERIC. - Mais que dis-tu là! Tu ne l'as pas connu. Personne de vous
ne l’a connu. Ambitieux, lui..? - Pour cela, il était bien trop
intelligent, trop philosopho on peut dire. Le piano était en
réalité pour lui une chose secondaire. Savez-vous les choses qui
l'interessaient? Kant, Schopenhauer et Nietzsche. Il les con-
naissait à fond de même que Marx et Prondhon. Il était extraor-
dinaire. Je l'ai vu dans les conversations que j'avais avec lui...
et avec cela six heures d'exercise par jour! Où prenait-il sau-
lement le tems pour tout cela? -Et vingt sept ans! et il se tue.
Grand Dieu, un 3tre qui avait tant de choses devant lui. Jeune,
celèbre et tout à fait beau en plus - et il se guide. C'est
ce que fait un vieil imbécile auquel la vie ne peut plus rien
donner... Mais lui... Enfin.- Et la veille au soir on est encore
ensemble devant le même repas - on joue au billard... qu'y a-t-
il Genia? pourquoi ris-tu?
J'ai justement raconte l'histoire à nada e Wahl. Elle s'est
ENIA.
tout de suite informée de ce qu'etaient devenus les eigares que
tu lui avais envoyés le matin.
TREDERIC.- Ah!.... c'est impayable
(Il tire un paquet de eigares, en
offre à Mauer)
Tiens, puisque tu n'es pas superstitieux.
J'en fumerai un aussi. Franz me les a naturelle ent rapportés.
MAUER.- Merci. C'est vraiment dommage juste avant le dîner
(II le prend
PREDERIC.- (lui donne du feu)
PEMME DE CHAM&RE. - (vient avec les lettres)
GEMIA.- (les lui prend des mains)
Une carte de Percy.