A244: Französischsprachige Übersetzungen II Le Pays Lontain, Seite 20

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PREDERIC. - Dear Mother. C'est pour toi. Rien qu'une carte. Quel
paresseux garnement.
AUER. - Pourquoi veux-tu qu'un garçon de 13 ans écrive des lettres ;
et en anglais encore.
PREDERIC.- Il pourrait le faire aussi bien qu'en Allemand.
ÄUER.- Allons au revoir. Je serai là dans une demi-heure. Ce eigare
ne tire pas. Ce n'est pas une superstition. Ne vous dérangez
pas.
(II sórt)
FREDERIC. GENIA.
REDERIC.- Oui, tu as très bien fait de ne pas aller là-bas, Genia.
Les discours... et le temps avec qà.
(Il regarde distraitement
les lettres et les journaux).
Du reste, au moment où
on descendait le cercueil en terre le soleil s'est leve brus-
quement.- (Silence) - Nous sommes bien jeudi aujourd'hui? Il
aurait dû dîner avec nous ce soir. Il faudra que je dise cela
à Mauer.... Ecoute, laisse-ma i lire la carte de Percy.
RENIA.- (lui tend la carte. Dans quatre semaines il sera là.
REDERIC. - (lisant) Allons, des meilleurs devoirs en grec. ce n'est
pas trop maubais. Peut-être deviendra-t-il philologue ou archeo-
logue. A propos, as-tu lu hier dans le beily Telegraph l'artiel
sur les dernières fouilles on Crète?
ENIA.- Non.
REDRIC.- Très interessant! C'est là où nous devrions bien aller
aussi!
(silence)
ENIA.- As-tu parlé sérieusement tout à l'heure au sujet de l'Amérique?
REDERIC.- Naturellement. N'aurais-tu pas plaisir à venir, Genia?
A New-York même, je n'aurais pas longtemps à faire. Mais nous