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contraire ; crois-tu que je n'ai pas vu comme tu as pincé la Schutz!
ENDERLE
Moi, j'ai pincé la Schutz? Tu oses dire ca?!
JOSEPHINE
Elle me l'a avoué elle-même. Et les yeux de merlan frit que tu fais à la
Ridel?
ENDERLE
Laisse la tranquille, la pauvre fille.
JOSEPHINE
Ah, aht La pauvre fille! (s'adressant à Fink) Entends-tu ca!? Il appelle
la Ridel pauvre fille. Et toi qui vient me dire à l'instant qu'elle se
fait entretenir par un millionnaire!
FINK
Je vous en prie,ne vous disputez pas continuellement.
BAUDOUIN
Il ne te comprend pas. Tu es une femme incomprise, Joséphine. Viens dans
mes bras,et je t'aimerai comme jamais femme n'a été aimée!
ENDERLE (avec mépris)
Cretin!
SoÈNE 10.
LES MÊMES : CATHÉRINE SCHUTZ
Mlle S CHUTZ (affaecte des aira de Sainte-Mitouche)
(Elle est mise avec une simplicité voulue,parle comme une élève du Ganne
Conservatoire et baisse les yeux quand elle cause aux hommes.)
Bonsoir.
BAUDOUIN
Bonsoir ma chère Cathérine,m'aimes-tu toujours? ne suis-je pas bel
homme?
LEVY
Bonsoir, mademoiselle Schutz
Mlle S CHUTZ (aveo une amabilité affectée)
Bonsoir, mon cher Monsieur Lévy: Vous alliez toujours bien?
JOSEPHINE
Maintenant qu'elle a fini avec tous les acteurs,là voilà qui commence