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P A U L (qui a ausé tout le temps avec le docteur est subite¬
ment frappé par le nom que Vogel vient de prononser)
Chez qui dites-vous?
VOGEL
Chez.... (il s'aperçoit subitement qu'il commis une gaffe) ah oui....
il est têtu Karinski.En ce moment il veut forcer la Ridel à souper avec
nous,comme si elle se laissait forcer! C'est drôle,hein?
LE Do C T E U R ( prend le bras de Paul)
paris même
ROHNSTEDT (frappe par l'excitation de Paul)
Nous avons eu tort de le laisser partir :
VOGEL
Le laisser partir, c'est beau à dire! Il faut le connaître celui-là
quand il se met quelque chose dans la tête il n'y a plus rien à faire.
G.C.F.P
LE COCTEUR (à Paul)
Paul, nous ferons mieux de nous en aller.
PAUL
Non, ça m'amuserait d'être la quand il va revenir.
LE Do CTEUR
Voyons, pourquoi? Tu sais très bien qu'elle n'acceptera pas l'invitation.
V OGEL ( à Rohnstedt)
Il n'est pas méchant qu fond, c'est un excellent camarade,mais il faut
que tout marche comme il veut.
ROHNSTEDT
Hum,ca n'est pas toujours possible!
VOGEL
naturellement, naturellement. Et l'histoire qui lui est arrivée? On l'é-
touffera?
ROHNSTEDT.
.
J'espère que oui.
VOGEL
Eh bien, on aura raison. Il ne l'a pas tué le bonhomme.
ROHNSTEDT
yours, bien
Ça ne l'extise pas,mon cher Vogel,